4 conseils pour mieux gérer la méthode Low FODMAP au travail

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Un petit café ? Une petite chouquette ? Jeudi tu fais quoi, y’a pot ! On se fait un dej ? Aaaah le travail. Aussi contents que l’on soit d’avoir retrouvé nos open spaces, le retour au bureau n’est pas toujours des plus simples lorsqu’on a le SII et qu’on s’est lancé dans la méthode Low FODMAP. Mais, breaking news, on a quelques tips pour toi ! 

  • Organisation 

Fini les daily task ! Les quoi ? Oui, on parle beaucoup anglais alors si on devait traduire ça on dirait : limitez la répétition de tâches quotidiennes, faites une bonne fois pour toute ! Concrètement ? C’est le concept du batchcooking : on cuisine en une seule fois pour la semaine et hop basta, c’est fait, on a plus à y penser. 

Pourquoi faire ça ? Parce qu’on sait à quel point les semaines sont vite chargées entre travail, activités, vies familiale et sociale. Le meilleur moyen de se sentir déborder et de craquer sur le premier paquet de pâtes venu dans ton placard. En préparant tes gamelles et tes encas pour la semaine, tu n’auras donc plus besoin d’y réfléchir et tu n’auras plus qu’à mettre ton tupp avec ton ordi dans ton sac et hop direction le bureau. En plus de t’assurer de manger Low FODMAP tu verras rapidement que, par rapport à tes collègues, tu t’enlèveras une charge décisionnelle importante « Euuuh ce midi on fait cafét ? Cantine ? Boulangerie ? Ah non peut-être Jap ! » et que tu en seras d’autant plus efficace au travail. Il n’y a pas que tes intestins qui te remercieront, tes patrons aussi ! 😉 Cette organisation te permettra enfin de t’apporter un cadre rassurant au quotidien.

Et comment on fait ? Et bien on établit un menu pour la semaine, on dédie un temps aux courses (ce qui nous évite d’avoir à y retourner tous les jours et de craquer sur ce paquet de chips parce qu’on meurt de faim en rentrant du boulot) et enfin, un temps en cuisine. Au total, ça peut représenter 2 à 3h dans le week-end vs 2 à 3h chaque jour de la semaine ! Oui oui, promis ! 

Retrouve les tips de Laure, notre G.I.JO diététicienne dans le dernier Motiv’Mag pour faire tes lunchboxes Low FODMAP. 

  • Transparence 

Alors non, il ne s’agit pas de donner tous les détails à tes collègues et managers. L’idée, c’est de plutôt signaler que tu as besoin d’adopter un régime alimentaire particulier car tu souffres de troubles digestifs ou toute autre bonne excuse que tu te sentiras à l’aise d’utiliser. Si tu en parles, personne ne te posera de questions et surtout, on est persuadé qu’ils sauront se montrer curieux et bienveillants envers toi. 

Tu as déjà vu une femme enceinte refuser un verre d’alcool se faire engueuler par ses collègues aux afterworks ? Tu as déjà vu un vegan se faire virer car il n’avait pas mangé de steak le midi ? Pas qu’on sache. 

Comment en parler ? En expliquant que c’est comme ça que tu te sens bien et que tu es donc plus en mesure de mieux travailler, de partager des moments avec tes collègues. Sans ça, à force de t’oublier, on sait comment ça fini. Enfin, plutôt où… Et puis, José ou Josiette, tu as été recruté.e sur la base de compétences qui n’ont rien à voir avec ton SII. Alors, ce qui se passe dans ton assiette n’a définitivement rien à voir avec ces compétences et tant que job is done, boss is happy ! 

  • Simplicité 

Une fois qu’on a dit tout ça, on se doute bien que tu ne débarqueras pas avec ton bananabread au petit-déj client ni avec ton tupp au pot de départ de Marie. Il y a en effet des moments plus compliqués mais finalement, c’est la même chose que dans la vie de tous les jours. Pas question de ne plus aller au resto, d’en finir avec les apéros, de se priver de manger aux dîners entre amis ou de s’imposer de souffrir. Bref, pas question d’arrêter de vivre normalement ! 

Pour ça, il faut adopter quelques réflexes et opter pour des plats simples composés du moins d’aliments possibles.

  • Pour les déjeuners : on privilégie le riz, les pommes de terre, les carottes, les viandes grillées et non en sauce, les poissons, etc. Chez le Japonais ou dans les restaurants asiatiques, on trouve aussi quelques alternatives intéressantes : nouilles de riz, sushis, sashimis, etc. 
  • Pour les pots, tu trouveras toujours des crudités, du jambon blanc, du fromage à pâte dure. Bref, toutes les alternatives qu’on te partage quotidiennement. 
  • Côté petit-déj, c’est vrai que les classiques et tentantes viennoiseries proposent que peu d’alternatives. Tu peux choisir de prendre ton petit déjeuner chez toi, avant, et te contenter d’une boisson chaude pour accompagner tes collègues. 

Bref, ça demande un peu de réflexion mais ce n’est pas impossible et puis à force, tout ça deviendra de l’habitude et tu sauras faire sans même plus réfléchir !

  • Bienveillance

Tiens-donc encore elle. Oui. Sois bienveillant envers toi et ne t’en rajoute pas. Si tu n’as pas réussi, si tu as craqué, ce n’est pas grave. Ca arrive même aux meilleurs, à tout le monde en fait et l’important c’est d’en parler avec le diététicien qui t’accompagne afin de voir comment le gérer au milieu de ta méthode. 

Voilà nos conseils mais ça ne s’arrête pas là. Non, il n’y a pas que l’alimentation et la méthode Low Fodmap qui prennent part au SII. Il y a aussi le stress, l’anxiété et la fatigue, des mots que l’on associe beaucoup au travail d’ailleurs. Pour ça, on te recommande de maintenir une routine bien-être alliant exercices de respiration, méditation, séances de sport et surtout : moments pour toi. 

On t’en parlait dans le dernier Motiv’Mag !

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