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Santé

5 critères pour bien choisir ses probiotiques lorsqu’on souffre de troubles digestifs

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Définis en 2001 par l’OMS comme des « micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont ingérés en quantité suffisante, exercent des effets positifs sur la santé, au-delà des effets nutritionnels traditionnels », les probiotiques font désormais consensus au sein de la communauté scientifique et médical.

En contribuant à augmenter la présence de bonnes bactéries et à rééquilibrer le microbiote, les probiotiques se montrent particulièrement intéressants pour prendre soin du microbiote qui participe à la bonne santé générale de notre organisme et, selon sa qualité, à certains dysfonctionnements et pathologies :

  • Troubles digestifs
  • Régulation du poids et de la glycémie
  • Système nerveux, gestion des émotions et de l’anxiété, etc.

Depuis quelques années maintenant, les chiffres le confirment, les probiotiques ont commencé à envahir les étales de nos pharmacies et pas que… Toutefois si, comme pour l’alimentation, on se lance plein de confiance dans nos industries et les acteurs de santé et fortement encouragés par ces bienfaits scientifiquement vantés, on n’y comprend pas toujours grand chose et la pilule se montre parfois difficile à avaler !
Peu ou pas d’effets remarqués, symptômes aggravés, formules indéchiffrables, allégations thérapeutiques… Tout autant d’éléments qui retournent l’estomac et nous donnent parfois presque envie de bouder ces bonnes bactéries.

BACK TO BASIC : on ouvre la gélule !

LES PROBIOTIQUES

Des probiotiques ce sont donc des bonnes bactéries qui agissent favorablement dans notre organisme.
Par opposition aux antibiotiques dont le but est de tuer des bactéries ou d’en empêcher le développement, les probiotiques auraient alors vocation à permettre la production d’autres microorganismes afin de contribuer à retrouver un équilibre microbiotique.

Si peu d’études permettent de mesurer et d’établir l’efficacité des probiotiques, l’autorisation de leur commercialisation repose sur deux nécessités :

  • Présence de souches non pathogènes dans la formule
  • Pas d’effet de colonisation permis par la prise de probiotique

Ces deux garanties permettent de limiter les potentiels risques et notamment de voir les effets négatifs liés à la prise de probiotiques s’arrêter au moment auquel leur prise s’arrête (au plus tard 5 jours après la dernière prise).

Ok mais de quoi sont concrètement composés les probiotiques ?

GENRE, ESPECE, SOUCHE…

Lactobacillus rhamnosus GG, Lactobacillus plantarum LP01, Bifidobaterium Breve BR03, Bifidobacterium longum BL03… Oui, c’est clairement du latin et on n’y comprend pas grand chose de plus qu’à du chinois !

Le nom d’une bactérie commence ainsi par son genre : lactobacillus ou bifidobaterium par exemple. Ensuite, son espèce est précisée : rhamnosus, plantarum. Enfin, la combinaison de chiffres et / ou de lettres finale correspond à la souche.

Une souche permet ainsi de différencier les bactéries de la même espèce, un peu comme la combinaison de notre nom et nos prénoms nous permet de nous distinguer d’autres personnes de notre espèce (humaine donc).

Aujourd’hui, 4 genres de bactéries sont notamment utilisés pour constituer nos probiotiques ; il s’agit de bactéries dites lactiques qui fermentent les sucres en acide lactique : Lactobacilles, Bifidobactéries, Streptocoques, Lactocoques.

Du côté des souches, la majorité de celles qui composent nos probiotiques sont d’origines humaines et naturellement présentes dans nos intestins. S’il est alors nécessaire de les distinguer, c’est que chacune des souches y compris de la même espèce possède une propriété et une action uniques. Les probiotiques universels n’existant pas, il se montre ainsi essentiel de bien sélectionner les souches en fonction des bienfaits rechercher.

UFC

Tu as bien décortiqué les étiquettes et il y a encore un terme qui t’échappe ? Les fameux UFC ou Unités Formant Colonies qui indique le dosage de chacune de ces souches. Un dosage important puisqu’au-delà d’étudier les bienfaits de chaque souche, les recherches déterminent également à partir de quelle quantité ces souches sont en mesure d’agir positivement sur le microbiote. Sans oublier bien sûr qu’une fois ingérées, ces bonnes bactéries se retrouvent en milieu hostile (notre système digestif) et que face à l’acidité gastrique ou encore aux enzymes digestives, une grande partie n’arrivera pas au bout du chemin.

COMMENT BIEN CHOISIR SES PROBIOTIQUES ?

Maintenant que tu en sais plus sur ce qui se cache dans une gélule, tu comprendras ainsi pourquoi ces 5 critères sauront t’aider à mieux sélectionner tes probiotiques :

  • Le choix des souches : on te le disait, chaque souche possède ses propriétés et aura une action différente sur ton microbiote. C’est ainsi que certaines souches sont particulièrement reconnues pour contribuer à réduire des symptômes digestifs, quand d’autres peuvent par exemple révéler des bienfaits plus intéressants pour la peau, les cheveux, etc.
  • La variété des souches : puisque chaque souche possède ses propres propriétés et qu’il est aujourd’hui encore impossible de créer des formules de probiotiques sur-mesure, il est recommandé de choisir des probiotiques composés de souches variées (mais toujours scientifiquement étudiées et attestées pour tel ou tel effet) afin de permettre un effet général sur le microbiote et les symptômes ciblés.
  • La quantité de souches : bien qu’aucune étude n’est prouvé que la démultiplication du nombre d’UFC, au-delà de la quantité limite déterminée, se montrait plus efficace pour le patient, un nombre de souches conséquent reste nécessaire dans la mesure où une partie sera détruite lors du passage dans le tube digestif et qu’il est, à date, difficile de prédire quelle quantité le sera finalement.
  • La qualité des souches et de la formule : ça ne t’étonnera pas, au-delà de la quantité, la qualité compte ! Ici, une bonne qualité de souches permettra à celles qui ont survécu au transit dans le tube digestif d’interagir plus longuement avec notre microbiote. C’est ce qu’on appelle l’adhérence à la muqueuse intestinale. Côté formule, pour garantir l’effet maximal des souches, l’ajout d’autres ingrédients doit être contrôlé puisque certains éléments ajoutés peuvent en effet avoir un effet sur la stabilité des souches. Des études ont ainsi déterminé certains ingrédients comme compatibles et aptes à être mélangés au sein de la gélule avec les souches.
  • Le packaging : elles sont bonnes à l’intérieur et ça doit se voir à l’extérieur ! Et oui, le packaging ce n’est pas que du marketing : conservation et protection face à l’humidité ou la luminosité, le pilulier agit comme un véritable protecteur et conservateur pour les gélules. Mêmes gélules qui, encapsulées dans des capsules gastro-résistantes, se verront correctement protégées pour traverser les nombreux obstacles qui l’attendent avant d’atteindre notre intestin.

PROBIOTIQUES ET TROUBLES DIGESTIFS

Dans le cadre des troubles digestifs, deux genres se montrent particulièrement intéressants :

  • Les lactobacilles

Les lactobacilles réunit des bactéries particulièrement intéressantes pour protéger la muqueuse intestinale de l’infection de bactéries pathogènes, réduire l’inflammation et améliorer la tolérance au lactose en favorisant la production de l’enzyme lactase.

Le problème quand on souffre de troubles digestifs, c’est que cette famille de souches est notamment présente dans les produits laitiers ainsi que dans les produits fermentés comme la choucroute ou le miso. Des aliments, tu l’auras deviné, peu SII-compatibles.

  • Les bifidobactéries

Ce genre de bactéries représente jusqu’à 95% des bactéries présentes dans l’intestin du nouveau-né. Reconnues bénéfiques pour la santé depuis le siècle dernier, elles contribuent notamment à la meilleure digestion des glucides non digestibles par l’homme (coucou FODMAP) grâce à la production d’acide lactique qu’elles permettent ; leur présence diminue toutefois grandement dans l’intestin avec l’âge, atteignant jusqu’à 25% seulement. 

Là encore, le problème quand on souffre de troubles digestifs, c’est que ces bonnes bactéries, qui contribuent par ailleurs à réguler le PH du tractus gastro-intestinal, se trouvent principalement dans des produits laitiers que l’on sait mal tolérés en cas de SII. 

Plus généralement, ces deux genres ont particulièrement été reconnus en cas de constipation.

Parmi ces genres, des espèces spécifiques ont été déterminées comme particulièrement pertinentes.

  • Bifidobacterium longum figure parmi les bactéries du microbiote intestinal humain, un écosystème constitué de milliards de micro-organismes. Elle se développe uniquement en l’absence d’oxygène. En se multipliant, elle exerce une action immunostimulante et inhibe la croissance de bactéries pathogènes. Par ailleurs, chez les personnes atteintes du  syndrome de l’intestin irritable (SII), cette souche contribue à la correction de la perméabilité intestinale et à l’amélioration des symptômes associés à cette affection (douleurs abdominales, ballonnements, flatulences et diarrhées). D’autres propriétés sont également bénéfiques pour la santé : en facilitant la production de la lactase, cette bactérie améliore en effet l’assimilation du lactose chez les sujets intolérants à cette substance. Bifidobacterium longum fait l’objet de plus de 1 703 publications scientifiques.
  • Lactobacillus plantarum : Le lactobacillus plantarum est particulièrement efficace contre la diarrhée, il régule les cytokines inflammatoires, il rééquilibre le microbiote intestinal et il améliore la barrière intestinale. C’est l’une des souches les plus efficaces contre l’inconfort digestif.
  • Bifidobaterium Breve : Dans la liste des super-héros du microbiote intestinal figure Bifidobacterium breve. Elle est capable de réaliser la fermentation lactique et d’abaisser le pH. Cette acidité contribue à la diminution d’une bactérie suspectée d’être impliquée dans le développement de pathologies intestinales. Bifidobacterium breve favorise la diversité bactérienne du microbiote.
  • Lactobacillus rhamnosus : Ce micro-organisme se multiplie dans nos intestins et est responsable de la production de substances antimicrobiennes qui permettent de lutter contre la prolifération intensive de bactéries pathogènes responsables du déséquilibre du microbiote. Par ailleurs, cette souche possède des propriétés anti-diarrhéiques et anti-inflammatoires qui se révèlent très utiles en cas de pathologies digestives.
  • Bifidobacterium animalis subsp. Lactis : Il a été démontré que Bifidobacterium animalis ssp lactis réduit considérablement la constipation occasionnelle chez les adultes et les enfants/adolescents en plus d’induire d’autres avantages pour la santé gastro-intestinale. Cette souche favorise le développement des cellules de l’immunité. Elle exerce également une action bénéfique en cas d’allergies alimentaires et respiratoires, ainsi que dans les manifestations intestinales et pulmonaires associées.
  • Bifidobacterium bifidum : est une souche que l’on ne trouve pas naturellement dans l’alimentation, à la différence d’autres probiotiques de type lactobacillus, naturellement présent dans les yaourts, fromages, kefir de fruits, kefir de lait, saucisson ou olives. Les divers bienfaits de Bifidobacterium bifidum sur les symptômes digestifs ont été prouvés à travers de nombreuses études. Une étude japonaise menée en 2015 a notamment mis en évidence une amélioration des douleurs abdominales accompagnées de constipation, de diarrhée ou une alternance des deux présentes lors du Syndrome de l’Intestin Irritable. D’autres auraient également témoigné de son efficacité pour inhiber l’activité d’Helicobacter pylori, bactérie qui colonise la muqueuse gastrique provoquant une infection chronique.*
  • Lactobacillus casei : reconnue pour ses vertus anti-bactériennes, la Lactobacillus casei est ainsi particulièrement intéressante pour réduire la présence d’agents pathogènes et contribuer à un meilleur équilibre gastro-intestinal. Une action favorable à la barrière intestinale qui voit l’adhérence des bactéries responsables de diarrhées, inflammations ou encore de gastro-entérites diminuer.
  • Lactobacillus acidophilus : naturellement présentes dans le corps humain, ces bactéries se distinguent notamment pour leur action anti-inflammatoire et se montre aussi particulièrement indispensable dans la production de la vitamine K. En produisant de l’acide lactique elles contribuent également à une meilleure digestion des aliments (notamment le lactose) et semblerait soutenir la prolifération d’autres bonnes bactéries telles que les bifidobactéries. Enfin, des études auraient notamment souligné son efficacité dans le cas du SII à prédominance diarrhéique.**
  • Bifidobacterium infantis : cette bactérie est particulièrement observée dans le tube digestif des nourrissons, surtout chez ceux qui sont allaités, ce qui justifie son nom. Elle contribue notamment à produire de nombreuses vitamines essentielles : B1, B2, B6, B9, B12, ainsi que de la vitamine C. Associée à la Lactobacillus acidophilus, elle témoignerait de nombreux bienfaits pour soulager les diarrhées.

*Bioscience of Microbiota, Food and Health
** 3 – Skrzyd?o-Radoma?ska B, Prozorow-Król B, Cicho?-Lach H, Majsiak E, Bier?a JB, Kosikowski W, Szczerbi?ski M, Gantzel J, Cukrowska B. The Effectiveness of Synbiotic Preparation Containing Lactobacillus and Bifidobacterium Probiotic Strains and Short Chain Fructooligosaccharides in Patients with Diarrhea Predominant Irritable Bowel Syndrome-A Randomized Double-Blind, Placebo-Controlled Study. Nutrients. 2020 Jul 5;12(7):1999. doi: 10.3390/nu12071999. PMID: 32635661; PMCID: PMC7400954

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Le festin de l’intestin

Le Festin de l’intestin Le Festin de l’intestin est un livre de recettes pauvres en FODMAPs dont la vocation est de donner ou redonner l’envie de manger avec plaisir tout en respectant les recommandations de la Monash University en Australie (référence mondiale pour le régime pauvre en FODMAPs).   Ce livre, créé sous l’égide de la Fondation DigestScience et de son département DigestSanté, s’adresse plus particulièrement aux malades atteints du syndrome de l’intestin irritable (SII), des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin demeurant symptomatiques malgré l’efficacité des traitements, mais également à tous ceux présentant des douleurs abdominales et ballonnements chroniques. 50 recettes du quotidien, 12 menus de chef pauvres en FODMAPs et les Incontournables du Placard, le tout en 100 pages illustrées dans un format 21X24 cm.   Un allié précieux dans votre quotidien ! Des recettes simples sucrées comme salées, des menus festifs et gastronomiques, adaptés à vos problèmes digestifs mais imaginés pour que le plaisir gustatif soit toujours au rendez-vous. Votre cuisine régalera vos familles et amis et vous retrouverez la convivialité autour de la table. Grâce aux trucs et astuces, votre suivi diététique de la méthode pauvres en FODMAPs sera simplifié. Le Festin de l’intestin,  pour retrouver un confort digestif et du plaisir au quotidien !   Le Festin de l’intestin est un livre de recettes savoureuses et pauvres en FODMAPs. Mais qui dit pauvre en FODMAPs ne veut certainement pas dire fade, simpliste et rébarbatif. Exit la monotonie, les repas sans relief et le manque d’inspiration ! Ce livre a été conçu pour répondre à plusieurs besoins, bien souvent exprimés par les personnes victimes des caprices de leurs intestins. Le Festin de l’intestin vous permettra :   –>De cuisiner des recettes sucrées et salées originales, pleines de saveurs et qui respectent les principes de la méthode pauvre en FODMAPs développée par la MONASH University* –>De préparer simplement et quotidiennement des repas qui vous permettront de vous faire plaisir tout en favorisant votre bien-être intestinal, mais également de surprendre vos proches avec des menus gastronomiques, –>De (re)trouver du plaisir à cuisiner et à manger de bons petits plats à la maison ou au travail, ou encore la convivialité de repas en famille ou entre amis.   Ce livre de recettes a été élaboré avec soin, par le chef de cuisine David Cauderon pour les menus, par “Ginette et Josiane” (nos coachs expertes SII) pour les recettes du quotidien. L’ensemble sous la consuite d’ Oriane Macke-Chaouat, diététicienne spécialisée, diplômée d’État et certifiée par la Monash University (Australie) et du Pr. Pierre Desreumaux, gastroentérologe Président Fondateur de la Fondation DigestScience. Les FODMAPs c’est quoi ? Les FODMAPs sont un ensemble de sucres qui fermentent et sont responsables de certains troubles intestinaux. FODMAPs = (Fermentable by colonic bacteria Oligosaccharides, Disaccharides, Monosaccharides And Polyols).   Plus simplement, ce sont des glucides de petites tailles, très peu absorbés par l’intestin grêle et qui procurent ballonnements, flatulences, diarrhées… symptômes parfois très invalidants chez certains partients.   Et quand je l’ouvre, qu’est-ce que je trouve ?   –>Une explication de la méthode pauvre en FODMAPs, –>Les incontournables du placard, les must-have à posséder si vous souhaitez démarrer ou suivre la méthode, –>50 recettes du quotidien, sucrées et salées (petits déjeuners, boissons, snacks, déjeuners ou dîners), –>12 menus de chef (entrée, plat, dessert)   Le tout ponctué d’ “Astuces de la diet” et de superbes clichés et illustrations sur 100 pages (format 21×24 cm).   Le Festin de l’Intestin sera un allié précieux dans votre quotidien grâce à ses recettes adaptées à vos problèmes digestifs et imaginées pour que le plaisir gustatif soit toujours au rendez-vous !  

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